Vous même :
Prénom : Cindy
Âge : 16 ans
Votre personnage :
Description physique : Il était élancé, mesurant environ 1m78. Il n’était ni gros, ni maigre, juste ce qu’il fallait, il devait pesé 65 kilos voir peut être un peu moins. Ses muscles étaient légèrement dessinés. Il avait des traits fins, les cheveux noirs mi-longs et effilés. Des yeux vers, parfois marron. Il prenait soin de lui, est était un jeune homme très entretenu. Il avait un très grand charme.
Il avait de belle main, les doigts fins comme les joueurs de piano, les ongles brillants.
Cette description c’est la dernière image que j’ai de lui. Et moi je me tiens droit, j’ai de l’allure et je lui ressemble comme deux gouttes d’eau…
Description psychique :
S’il y a bien un point sur lequel on ne se ressemble pas du tout c’est celui là. D’après ce que son cœur et son cerveau me font vivre. Nous sommes des opposées, deux couleurs différentes. Lui le noir malgré son bon cœur qui apparemment n’a ouvert qu’a moi, et moi je suis le blanc. Seulement depuis que l’on vit a deux dans le même corps ce n’est plus vraiment la même histoire, certes il me complète. Mais il me fait avoir des idées sombres, je deviens solitaire. J’ai beaucoup d’inégalités d’humeur. J’ai quelques fois des réactions incompréhensibles et peut devenir violent… en même temps essayé de vivre quand quelqu’un vous hante.
Je garde son charme et sait utiliser les mots pour faire chaviré les cœurs.
Faire une description de son psychique est assez difficile, alors pour en savoir plus il faudra le découvrir par vous-même. Mais ne vous fié pas aux premiers abords, à l’image que je peux vous donné, ne croyez pas savoir ce que je pense… car on est deux a penser…
Histoire : Mon histoire elle commence en 1996, je ne me rappelle de rien avant cette année là. J’étais trop jeune pour garder en mémoire ce que j’allais vivre avant l’année de mes huit ans.
C’est un peu comme quand on né, aucun bébé ne se rappelle de cette date là, aucun enfant a des souvenirs de ses premiers mois, premières années… mais ils arrivent quand même a se remémorés quelques moments, grâce aux parents qui leurs transmettent leurs souvenirs.
Moi c’est un peu pareil, je sais que j’ai appris a marcher aux alentours de mes un ans, que j’ai appris a parler un peu plus tard, que j’ai eu tel et tel cadeaux a cet anniversaire là, a ce noël là. Je sais tous ça simplement parce qu’ils me l’on transmit… car personnellement je n’en est aucun souvenir.
Mon premier souvenir remonte à l’année de mes huit ans, comme je l’ai écris un peu plus haut.
Un jour, sans doute un jour comme un autre…alors pourquoi ce jour là ? Vraiment je n’en ai aucune idée.
Ma mère me tenait par la main, mon père un peu plus loin devant nous poussait une porte par laquelle nous allions sortir. Ils étaient calme, et avaient une drôle d’expression collé au visage.
Je me souviens surtout du moment où mes yeux on croisés la lumière du soleil. J’avais la forte impression que je ne l’avais pas vu depuis longtemps, étrange.
Je considère mon premier souvenir comme une deuxième naissance, souvenir que je me rappelle enfin personnellement.
Je resté là, un moment a fixé ce qui se présentais a moi, comme si je venais de découvrir quelques chose. Puis il a fallu partir, je suis monté dans la voiture après mettre retourné vers l’endroit d’où je venais de sortir : un hôpital. J’avais comme un trou de mémoire qu’est ce qu’on était venu faire ici. Je voulu parler mais mes mots ne sortirent pas tout de suite. Finalement je réussis à demander à mes parents pourquoi on venait d’aller à l’hôpital.
Mon père se tourna vers moi, en m’expliquant que ma mère s’était fait une entorse au poignet et qu’elle était venue se faire plâtrer. Ce qu’elle me montra aussitôt avec un sourire rassurant. A ce moment là je n’avais pas cherché plus loin. Mais un peu plus tard je me suis souvent demander comment on pouvait se faire une entorse au poignet lorsqu’on est sans arrêt entrain de se faire bronzer aux quatre coins du monde…
Une mère souvent absente, qui prend des vacances a longueur de temps car le salaire de Papa le permet. Un père constamment en voyage d’affaire. Et au final une famille pas très présente, hormis cette nounou qui s’occupée tous les jours de moi, cédant a mes moindres caprices, pour que je ne manque de rien, et que j’essaye d’être heureux. D’ailleurs je l’étais. Je me sentais juste un peu seul par moment, j’aurais bien aimé avoir un grand frère ou une grande sœur.
Ce que je garde en mémoire après ce jour n’est pas très important. J’ai continuer d’aller a l’école, j’étais plutôt surdoué. Je savais énormément de chose, pourtant je ne me rappelé plus comment je les avais apprises.
J’étais entouré d’amis, vraiment rien ne me manqué. A part peut être un peu ma mère, mon père mais j’avais pris l’habitude de les voir occasionnellement, et sa ne me posé plus de problème car je commencer a devenir grand. Ma nounou, était devenu une simple bonne. Et je vivais seul dans cette grande maison.
Mon adolescence elle se passa bien, des gens que je ramenais a la maison. Personnes avec qui j’ai eu plusieurs souvenirs, mais qui ne sont pas très important a mes yeux. Des souvenirs d’ado, quoi. Des filles de mon age avec qui je couchais, des femmes plus âgées aussi. D’ailleurs il y en avait une que j’avais l’impression d’avoir déjà connu. Comme si j’avais vécu deux fois le même moment.
Et ce n’était pas la première fois que ça m’arrivait. Souvent il y a des passages de ma vie que j’ai l’impression d’avoir vécu deux fois…
Toutes ces choses que je savais sans les avoirs apprises, tous ces moments que je vivais comme une seconde fois commencer à me troubler. Dans la rue je croisais même des personnes que je croyais connaître depuis toujours, mais à qui je n’avais jamais adressées la parole. Quand tout ces signes se reproduise encore et encore, il y a de quoi devenir fou. Je ne voulais en parler a quiconque, je ne voulais pas qu’on me prenne pour une personne que je n’était pas, je ne voulais pas aller voir un psychologue car le problème ce n’était pas moi et ça je pouvais le certifié.
Quelques nuits je fessais des rêves étranges. J’avais parfois des problèmes de cœur. Je ne m’inquiétais pas plus que ça, mais un jour je suis quand même allez voir un cardiologue. Il m’a dit que tout aller bien, seulement il fallait du temps pour qu’un cœur s’adapte. Cette phrase elle m’intriguait : s’adapté, pourquoi devrait il s’adapté.
Je continue de vivre ma vie d’adolescent de « rêves » avec mes troubles mentaux.
Et je ne savais pas que tout aller continuer par s’empirer.
J’aller faire des études approfondis, je n’avais pas besoin de ça. Grâce à l’argent que mon père gagner je pouvais vivre sur mes rentes. Mais je continuer d’aller a l’école pour le plaisirs d’apprendre et pour les personnes qui m’entourais.
Aux alentours de mes 17 ans je ne pouvais pas continuer la vie que je menais. Je vivais des choses de plus en plus incompréhensibles. J’étais sans arrêt malade. Ma santé est très fragile. J’ai souvent dû rester cloîtré chez moi. J’ai dû arrêter mes études. A partir de ce moment je voyais de moins en moins mes parents. J’avais tentés de leurs expliqué ce qu’il m’arrivait mais ils se contentaient de me dire que sa aller passer, que j’avais du attraper un virus. Et ils s’éloigné de plus en plus de moi, comme s’il regrettait quelques chose.
Cette chose a laquelle je pensais de plus en plus, chose qui m’empêchais de vivre normalement, j’étais a peu près certains que tout étaient lié. Dans ce monde tout a un lien.
Je me suis alors mis a faire des recherches, que pouvait il bien m’arrivé a moi qui avait eu une vie normal a part ces incidents. Moi qui n’avait eu ni choc, physique ou psychologiques.
Mais je ne trouvait rien, et mes douleurs au cœur et mes migraines ne fessait qu’empirer.
Je me souviens d’un jour où j’agoniser seul sur mon lit… pensant réellement que c’était mes derniers instant, je me suis levé pour regarder a travers la fenêtre les rayons du soleil. Ce qui m’avait fait naître. C’est alors que sur le rebord de la fenêtre j’ai trouvé, une petite pierre métallique. Je l’ai pris dans le creux de la main et je l’ai observé. Je me rappelle ensuite mettre laissé tombé sur le lit et m’endormi avec une image en tête, sans doute un souvenir remontant avant mes huit ans. J’étais accroupi a côté d’un jeune homme a qui je ressemble étrangement maintenant, et il avait cette petite pierre dans la main qu’il me fessait découvrir.
J’ai dû me réveiller quelques jours plus tard, je gardai cet objet précieusement.
Le temps a passé et j’ai commencé a changé, j’étais devenu plus froid et solitaire.
Je me renfermé sur moi-même vivant avec mes problèmes de santé. Je n’ai plus un caractère facile. Je deviens acariâtre, je suis souvent de mauvaise humeur à cause de ces migraines. Comme si je n’étais plus moi. Comme si une autre personnalité essayer de prendre place dans mon corps, comme si j’étais hanté par l’esprit d’un mort… Comme si on était deux.
Je n’en pouvait plus de cette situation alors j’ai décidé de retourner sur le lieu de ma deuxième naissance. Et j’ai appris quelque chose que je n’aurais jamais voulu savoir. Un secret plutôt lourd a porté…
Quand j’eu 4 ans j’ai attrapé une maladie incurable. Enfin incurable était un grand mot, le seul moyen pour que je m’en tire vivant était de me faire une greffe du cœur et d’un morceau de cerveau. Et là seule personne qui pouvait m’offrir ces organes était mon frère. J’avais un frère et je venais d’apprendre son existence à mes 19 ans. J’aurais voulu me rappeler plus de lui à ce moment là mais s’en était impossible, je pense que j’étais trop bouleversé.
Et je venais de comprendre à l’instant que si j’étais vivant aujourd’hui, c’était grâce a lui. Et donc qu’il avait donné sa vie pour son petit frère : moi.
Je suis resté 4 ans de ma vie a l’hôpital, voilà d’où vient le manque de souvenirs.
J’essayer de rester calme et de lui expliquer cette sorte de dédoublement de personnalité, ces moments déjà vécus, ses souvenirs que je n’ai pas eu, en réalité c’étaient ceux de mon frère.
Cet autre personne qui essayé de prendre ma place c’était sans doute lui aussi, j’eu l’impression d’être hanté.
Je suis alors rentré chez moi sans un mot.
Il m’a fallut du temps pour que je me fasse à l’idée. J’ai cherché s’il était possible d’être hanté par l’esprit d’un mort. Moi j’étais sur d’être possédé. C’est alors que dans une petite rubrique j’ai entendu parler d’un village massacré, qui avait était reconstruit et dans lequel on ne se sentait jamais vraiment seul… et où quelques esprits rodés.
Je me suis dit quand allant là bas je ne pourrais pas être considéré comme fou ou autre, je serai sans doute protégé et je pourrai vivre avec d’autre esprit que celui de mon frère.
Esprit que j’ai de plus en plus de mal a contrôlé, comme s’il regrettait d’avoir sacrifié sa vie pour moi, et qu’il essayer maintenant de reprendre sa place…
Me voilà maintenant à 21 ans vivant pour deux à Akai-san.
Ven 14 Aoû - 0:24
